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Réduire notre empreinte de CO2 de 2/3 grâce à des lieux de vie qui combinent habiter et travailler, c’est ce que nous avons tenté à démontrer à travers la «Tiny House Urbaine», aménagée dans un garage d’une maison d’habitation.

Cette réduction est possible grâce à sa compacité, sa mixité de fonctions (usage jour/nuit) et le réemploi, sans oublier les déplacements en moins pour les trajets entre le domicile et le lieu de travail. 

A gauche photo de l'existant, à droite perspective projet de la reconversion du garage en tiny house urbaine.

La «Tiny House Urbaine» a démontré que la densité n’est pas synonyme de promiscuité, quand elle s’appuie sur le végétal dans un contexte désartificialisé. 


Elle s’apparente à une oasis urbaine pour une nouvelle biodiversité et un bien vivre-ensemble.

C’est donc une approche désirable, abordable pour de nombreux citoyens et positive pour nos espaces urbains. 

 

Désormais nous avons transposé ces vertus de façon moins militante à des éco-résidences que nous présentons pour la première fois à l’occasion du Salon des Maires 2021 à Paris. 

Perspective du projet "éco-loger". Un ensemble de logements fonctionnant en éco-quartier.

Sur des terrains à partir de seulement 3.5oo m2 pour une vingtaine de logements, «éco-loger» possède quasiment toutes les vertus d’un éco-quartier, sans en avoir les inconvénients. 

Ainsi les élu(e)s n’auront besoin que d’un seul mandat pour voir leur vision aboutie et habitée ! Présentée comme une opération publique, mixte ou privée,  « éco-loger » est prédestinée à des moyennes et petites villes ou des grands villages. Et au moins ¼ des logements pourraient être conventionnés : il s’agit de logements pour des jeunes actifs et des colocations pour des personnes en situation de fragilité. Les autres logements se présentent comme des maisons groupées compactes et en duplex. Une partie des toitures produisent l’énergie photovoltaïque pour un équivalent du besoin total en chauffage de l’opération, disponible toute l’année également pour l’eau chaude sanitaire et pour charger les voitures électriques.

Perspective du projet "éco-loger" dans un contexte urbain. Vue sur les toitures végétalisées et les panneaux photovoltaïques.

Environ 80 % du terrain sera restituée à la nature, notamment sous forme de toitures végétalisées, jardins privatifs ou potagers familiaux, ces derniers gérés par une association locale.

Perspective des espaces communs du projet "éco-loger".

Désirable et abordable « éco-loger » mettra les habitants au cœur du dispositif : afin d’encourager leur pouvoir d’agir et préserver leur pouvoir d’achat. 

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